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La vie à côté de soi
29 septembre 2013

Moi, moche et méchant

Je suis toujours étonnée lorsque je rencontre la méchanceté. Pourtant, à 40 ans, on ne peut pas dire que ce soit une grande découverte, je devrais y être habituée depuis le temps que j'y suis confrontée. Et bien non. Je ne sais pas si cela me blesse lorsqu'elle me concerne, pas vraiment je crois, mais elle me met hors de moi lorsque je la constate envers autrui. Je suis sûre que vous voyez de quoi je parle, ces petites mesquineries qui donnent à celui qui les profère le sentiment d'avoir de l'emprise, du pouvoir sur l'autre, et qui en fait, ne font que révéler ses faiblesses. Comme cette femme qui, rendant visite à des parents dont la fille vient de faire une tentative de suicide, passe une demie-heure à expliquer à quel point ses enfants à elle ont une vie formidable. Comme cet homme qui, se sentant méprisé, utilise ce qu'il pense être le talon d'achille d'une femme pour la faire culpabiliser, pour tenter de la blesser, pour enfin reprendre la main, peu importe la manière, la fin justifie toujours les moyens. Les exemples tels que cela fourmillent, ils sont pléthore, et en fait, une relation exempte de ces revanches pathétiques sont plutôt rares. J'avais encore quelque indulgence envers ces petits êtres cruels jusqu'à peu de temps. Mais la répétition a fini de me lasser. Sylvester est l'incarnation même de ces dysfonctionnements pathologiques, sa personnalité est fondamentalement structurée de cette manière. Le cotoyer m'a amenée à me penser dans cet ensemble, et à me radicaliser. Je ne trouve plus d'excuse, je regarde et je constate froidement qui ils sont, j'évite leur présence, nocive, je leur explique pourquoi et je les laisse à leurs frustrations, à leur immense solitude.
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Commentaires
W
Un brin d'humour au lieu d'un brun d'humour...le lapsus est joli convenez en
W
Madame<br /> <br /> <br /> <br /> Souffrez le droit de reponse que la democratie nous offre encore de nos jours<br /> <br /> Je pense que votre raison s'egare en voyant dans mes modestes propos la moindre menace .. Sans doute l'habitude de cotoyer vos sommets existentiels vous donne le mal des cimes et votre raison fait la culbute<br /> <br /> <br /> <br /> Je lisais jusqu' a present avec une certaine delectation vos billets que je croyais decales mais non helas. Ah que diable, vous voici despote, reclamant la censure, et ce propos" c'est mon mien de cyberespace" semble si pueril, si excessif en regard des enjeux. Cet espace est ouvert a l'internaute pourvu qu'il soit respectueux des regles de bienseance sinon ce serait un blog monocal.<br /> <br /> <br /> <br /> Oui, je le sais, vous avez des ambitions litteraires et des salons feutres des grands editeurs vous estimez sans doute votre presence possible.<br /> <br /> Il y est vrai que votre style s'apparente bien a celui de certaines collections mais helas eloignees des espaces germanopratins que votre ego souhaite et plus proche des blockbusters de supermarche je me souviens de votre projet litteraire et vous souhaite de tout coeur de le reussir..en adoptant un style moins vindicatif peut etre<br /> <br /> <br /> <br /> D'umprunter le style "des pintades a New York" c est mal vous savez..mais enfin ou est passe votre humour dont vous vous vantiez naguere?<br /> <br /> <br /> <br /> Il n'y a dans mes propos aucun acharnement, seul le dialogue ironique m'importait en reponse a l'intransigeance de vos propos qui n'accorde sa mansuetude qu'a votre auguste personne.<br /> <br /> <br /> <br /> Alllons, cessons ici ces enfantillages. Je vous laisse, O Despote, regner en maitre absolu de vos logorrhees.<br /> <br /> <br /> <br /> Nulle menace, nulle contrainte mais je voulais tester votre degre d'humour a l'ironien <br /> <br /> <br /> <br /> reponse a vos propos au vitriol. Il est je le crains proche du zero Kelvin. Oublions cette diatribe et je vous souhaite mais vous en moquerez bien sur, la chance inouie de vivre votre vie avec bienveillance et indulgence pour les autres avec un brun d'humour et d'amour pour ceux la.<br /> <br /> <br /> <br /> Je vous fais reverence ...
C
Monsieur, je me demande vraiment pourquoi un tel acharnement..... Vous n'avez de cesse de me menacer de ne plus fréquenter ce lieu, mais que diable ne le faites-vous ? Personne, si ce n'est votre propre personne, ne vous oblige à me lire, moi, dont vous détestez le moindre mot. En effet, je vous supprime, car ce lieu est le mien, il m'appartient, à moi seule, j'y règne en maître et en despote, et je n'ai que faire que cela vous déplaise, c'est le cadet de mes soucis. Je me demande bien ce qui vous passe par la tête pour vous autoriser à penser que vous avez des droits et sur moi et sur ce lieu..... C'est stupéfiant.
C
Et normalement, l'on ponctue ses phrases. Tu es d'un ennui.
C
Il faut parfois se perdre pour se trouver...
La vie à côté de soi
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